La Taverne du Verre Entièrement Plein

« La joie de vivre dans les quartiers visibles par les commerçants de l’extérieur est une obligation religieuse à Mythak »

C’est ce qu’annonce fièrement le panneau qui orne l’entré de La Taverne du Verre Entièrement Plein. L’Ordre des Sorciers mit un temps avant de comprendre que le gérant de la Taverne, un Nain du nom de Geluk Tomt, tenait en fait à signifier à ses clients que toute personne venue mettre le cafard ou la mélancolie dans sa taverne pouvait reprendre la porte pour sortir. Et son pari fut gagné haut la main. La Taverne est un lieu de bons vivants ou les blagues sont de misent et le sérieux vaguement toléré. Le gérant peut même se vanter d’avoir parmi ses clients réguliers des membres des Erudits venus se saouler tranquillement la tronche après une journée d’effort énorme, mais aussi d’avoir accueillit déjà à trois reprises la divine Adélaïde qui avoua elle-même avoir été amusée par l’inscription de l’entrée.

Adom entra dans une taverne ou la joie régnais comme jamais, les gens buvait et chantais, tous était presque ivre sauf le tavernier qui s'amusait très bien avec les 5 Nain assit a une table qui racontais leur vie.

J'alla m'asseoir a une table libre pour manger et boire a volonté.

"Une bière et un morceaux de sanglier souv'plait"

Le nain alla derrière son comptoir et pares quelque minute de cuisson il m'apporta mon plat et un bichet de bière fraîche.

"Merci mon brave"

"Ouaippp, chui la pour sa moi gloup...aller moi je retoune avec ...mes amis...a la prochaine"

Le Nain repartit et moi je me plonga dans mon festin de maître.

Après mon délicieux festin je décida de sortir de cette taverne.

(La nuit va bientôt tomber, je dois trouver un endroit a dormir.Pourquoi pas aller cogner a une ferme dans la valé de Mythak.)

Alors je sortit de la taverne et alla sur la grande rue encore une fois.

La taverne était animée, les clients assez nombreux, un comptait son verre au fond de la salle, trois autres discutaient calmement devant un liquide peut fiable pendant que la plupart buvait, d’autres liquides aussi peut recommandables.

Vylom se déplaça à une table légèrement plus éloignée, sans se mettre en dehors de la foule. Et chercha du regard une serveuse, espérant trouver un joli minois portant avec finesse un plateau, et parlant avec une voix fine et délicate. Comme c’était souvent le cas. La gente féminine est en effet il faut l’avouer, bien plus talentueuse que la gente masculine pour mettre en avant leurs atouts. Qu’ils soient visuels ou spirituels.

Un jeune serveuse d'environ 25 années , arriva pour ta commande. Si elle n'avait pas d'atouts spirituels, elle en avait toujours au moins des visuels. Une forme élégante, rrebondies au bons endroits, et tenant un éternel plateau de bois sur lequel trainait une ou deux chopines des habitués, le femme te demanda ce que tu souhaitais prendre.

Et avec un grand sourire, à faire fondre les plus durs guerriers de Keutrop.

plus loin, derrière son comptoir, le patron te regardait différement, reluquant son employée, pret à intervenir en cas de besoin.

(Mademoiselle, si votre culture est tel votre parure vous méritez bien plus qu’une place de serveuse)

Je ne sais pas, que me conseillerez vous gente demoiselle ?

Vylom remarqua le regard du tavernier, c’était plus où moins un regard signifiant, « regarde mais approche toi à moins de deux mètre et tu ne vivra pas assez longtemps pour avancer plus ». Vylom avait eut un regard semblable dans un autre village d’un père protégeant sa fille, et le père maqua de peu de tenir la promesse qu’avaient fait ses yeux.

(Si je me souviens chaque être est libre de son destin en cette Citée. Soyons galant, ce nain n’est sans doute pas aussi violent qu’il veut me le faire croire)

La jeune femme laissa aller ses yeux sur toi au moment où tu la nomma "gente dame". Elle rit betement, émettant une sorte de rallement communément appelé gloussement. Puis elle se remit, et te montrant la personne seule au fond de la salle, te répondit rapidement.

"Un très bon hydromel, second fut. Venant des contrées elfiques. Un vrai délices, pas un de ses trucs de nains buveurs ..."

Elle souriait, indifférente aux autres clients.

(Une jeune demoiselle qui dénigre les nains, et aime la noblesse elfe. Une personne civilisée, mais que fait un petit oiseau pareil au milieu d’une taverne puis-je vous demander ?)

Alors Je prendrais cela. Il est dit qu’il faut se fier aux conseils des personne de goûts.

Vylom prononça le reste de sa phrase plus bas de façon à éviter que le nain derrière le comptoir n’entende. Et il apparaissait que le ton de la confidence était plus agréable que celui de la commande.

Et, de vous à moi quelqu’un qui préfère la noblesse des mets elfiques aux substances naines ne peut qu’être une personne de goût

Vylom décida d’attendre que la serveuse revienne avant de continuer, l’espace dans le dialogue lui permettait de préparer ses futurs compliments.

La jeune femme gloussa à nouveau, puis partit chercher ta commande, balançant étrangement le bas des hanches, et bien plus qu'à l'aller.

Elle revint quelques minutes plus tard, sourire aux levres, te déposais un petit verre orné, et avec un liquide mielleux à l'intérieur.

Puis sous les regards toujorus aussi impérieux de Geluk Tomt, elle retourna servir d'autres clients.

Vylom approcha l’hydromel et bu avec lenteur et délicatesse.

(Les breuvages elfes sont sincèrement moins prenants que les boissons naines, mais pour un brin de femme pareil quel sacrifice ne se fait pas)

Vylom jeta des regards dans la taverne, il observa de nouveau ce regard si particulier chez le patron.

(Ce nain est vraiment agaçant quand même)

Vylom fit planer un temps assez court afin de se situer rapidement.

(Restons en là pour l’immédiat, j’ai d’autres préoccupations plus urgentes quand même)

Son regard resta fixé sur le dos de la serveuse pendant un temps cependant, et son esprit ne se mit à penser que quand il porta de nouveau l’hydromel à ses lèvres.

Durant le peut que sa coupe dura Vylom concentra, autant que ça lui était possible, son esprit sur les quelques détails qui lui permettrait de subsister pour le temps indéterminé de son séjour à Mythak. Et après la première des évidences, et la dernière gorgée de l’hydromel. Il déposa son verre et attendit en supposant le retour de la gente serveuse lui apportant le prix du verre.

((Tu as pas oublié que c'était gratuit? Si je te fais payer deux jols je suis obligé de te les enlever...Comment que je fais maintenant?))

Malheuresement, c'est le patron qui vint, torchon sur l'épaule.

"Vous voulez autre chose? "

Il était plus détendu qu'auparavant, mais maintenant, la serveuse était loin.

((Enlèvent les pour le rp-rect si tu pense que c’est nécessaire, pas de soucis ))

(L’Agaçant. Et bien dommage, pour l’instant. J’ai été sufisemment visible par ici pour le moment. Restons courtois nous reviendrons et ce petit angelot ne s’envolera pas ainsi)

Il se tourna vers le tavernier et parla avec un ton un peu plus énergique, pour bien se faire voir d’un nain, surtout après avoir bu de l’hydromel elfe, il était normal de se montrer légèrement plus vivant que pour adoucir avec délicatesse le cœur d’une jeune femme humaine.

Non ce sera tout tavernier, combien vous dois-je ?

Geluk Tomt sourit, il était finalement meme d'assez bonne humeur, c'était peut etre ta nouvelle tete qui le genait au départ.

"1 jol messire, mais si je puis me permettre, que venez vous faire dans notre noble ville? Venez vous pour priez notre cher Adelaide?"

Son regard étair enjoué, et s'illumina meme quand il parla de sa déesse.

Vylom évita de froncer machinalement le front aux paroles du tavernier.

(Le culte local, c’est quelque chose avec lequel il va falloir penser malheureusement. Autant éviter la question que de répondre)

Tenez voici les jols, et vous êtes vous croyant tavernier ?

Il gardait avec une assez bonne répartit le ton dont il avait usé au début de la conversation avec le nain.

Le nain, rit.

"Bien, sur , Adéalide notre déesse est la preuve vivante de ce qu'elle est. Je ne voies as comment on peut encore ne pas croire en elle. Elle es si...si..."

IL arreta de rire, et prit ton argent.

"Enfin vous comprenez. C'est pas tout cela mais si vous pouviez y aller des gesn attendent la place."

(Voilà comment éviter les erreurs)

Je suis de votre avis tavernier, je trouve difficile de ne pas croire en Adélaïde

Vylom se leva et salua le tavernier.

Au plaisir de vous revoir tavernier. Votre établissement est très accueillent, et votre personnel des plus charmant

Il avait dit la seconde partie légèrement plus fort que le reste, espérant ainsi que la personne concernée, entend ce dernier compliment.

Et il sorti dans les rues de la Citée

Vylom pénétra dans la taverne, ne se plaçant cette fois pourtant pas à une table. Il s’approcha du comptoir. Et reprit la manière de parler qu’il avait eut en sortant du bar. La cohérence le voulait ainsi.

Bonsoir tavernier. Dites moi, serait il possible de louer une chambre, pour cette nuit au moins ?

Il jeta rapidement quels regards dans la taverne proprement dite, voir si la jeune serveuse était toujours ici.

Le tavernier arriva en baillant. La jourée fut rude, pour un simple tavernier...pas une synécure!

" Vous pouvez louer une chambre, m'en reste quelques unes à l'étage..., mais pas plus de trois jours, j'ai un arrivage de Keutrop avec des réservations en suite."

Ton regard put apercevoir quelques poivreaux encore la, endormis et saoul sur les tables, mais plus aucune serveuse dans l'établissement.

(Dommage, cela fait beaucoup pour aujourd’hui. Je devrais veiller à ne pas devenir trop sentimental. Bien que là je n’ai pas put en arriver jusqu’à ce point. Pour l’instant, nous verrons demain)

Vylom regarda le tavernier, plus éreinté que lui.

(C’est sûrement pour ça que le travail ne peut pas me convenir)

Cela conviendra. Donnez moi celle que vous choisiriez vous-même, je suis sur de ne pas me tromper ainsi

Le tavernier alla cherchait un petit livre et un eplume, et nota quelque chose dessus.

Ensuite, il vint te donner la clé, ou fgurait un 3 mal dessiné sur le papier accroché, puis te demanda si tu voulais une collation pour le matin suivant.

Voyant que tu répondais positivement, il te laissa monter avec un bonne nuit sympathique, puis retourna à ses occupations de nain tavernier, dandinnant ses jambes grasses vers un des poivreaux, dans le but de le réveiller.

Vylom atteignit sa chambre après avoir répondu par l'affirmative à la question du tavernier. Cette chambre, miteuse, non, d’un charme un peu rustique pour une auberge de Citée, mais le prix se justifiait.

(L’heure de la tranquillité)

Vylom ferma la porte à clef et vérifia que celle-ci ne risquait pas de s’ouvrir d’une quelconque autre façon, étonnante habitude au milieu d’un quartier populaire. Mais enfin.

Un fois sur il se déshabilla et se glissa dans les draps du lit de la chambre. Ayant laissé sa seule arme, volé il ne savait guère où en chemin, ou plutôt emprunté car il se souvenait avoir discuter avec le propriétaire légitime de celle-ci qui lui avait donné, ou prêté de bon gré.

(Quoiqu’il en soit il ne la réclamera sans doute pas, ou alors au détour d’une chope bien trop loin de moi pour m’en soucier)

Et il s’endormit sur d’autres anecdotes plus charmantes, ou plus gifflantes.

L’aube n’était pas levé depuis longtemps lorsque quelqu’un frappa à la porte de la chambre.

Petit déjeuné

(Cette voix, semble .... quoi petit déjeuné ? Ah oui c’est vrai, il servent dans les chambres dans cette auberge ? Encore mieux que prévu)

Me voilà

Vylom sauta de son lit, et lui donna avec vitesse une apparence normal, il ne bougeait presque pas durant son sommeil , c’était parfois utile, il enfila ses vêtements rapidement, jeta un coup d’oeil autour de lui, ne fit qu’une seule glace legèrement ternit, mais suffisement propre pour remmetre l’ordre habituel de ses vêtements.

Il s’approcha de la porte et ouvrit.

Derrière se trouvait la serveuse de la veille, tenant sur son plateau le petit déjeuné. Mais réellement, Vylom n’avait plus son esprit sur ce dernier.

(Mais que pense ils donc en envoyant cette angelot servir le petit dejeuné ? Que quelqu’un trouvera l’appetit de le manger après une vision aussi enchanteresse ? Ou alors c’est leur but, vous couper la faim de cette manière)

Il est agréable d’être réveillé par si douce apparition gente demoiselle.

(Et bien Vylom, c’est le moment, d’en apprendre plus sur ce petit oiseau, ne le laisse donc pas s’envoler trop loin)

Vylom attendit la réaction de la jeune fille, prêt à lui propser de rester discuter si elle le pouvait, de l’accompagner faire le tour des chambres si elle lui disait devoir continuer, bref, comme à son habitude, prêt à s’adapter au plus vite, du moins en apparence.

La jeune femme remarqua alors seulement que c'était toi, le client de la veille, aux paroles si douces et charmantes. Elle eut un sourire à ta phrase, puis déposa tranquilement le plateau où elle pouvait.

"Bonjour gente demoiseau, il est heureux de rencontrer des gens comme vous au pied de leur lit."

Elle avait dit cela avec un petit rire, apparement plus libéré quand le nain n'était pas derrière son dos.

"J'espère que votre encas vous plaira."

Vylom eut un sourire en coin de lèvres en voyant que cette jeune fille savait s’exprimer aussi bien qu’elle savait se présenter. Quelques vagues images lui virent en tête, images dont la description semble peu utile.

(Notre jeune oiselle elle aussi semble apprécier l’élégance. En apparence ? Oui, c’est ce qui compte)

Vylom se demanda comment continuer, il lui semblait logique de faire au plus simple.

(Il faut juste trouver un nom, les rumeurs font toujours mauvais genre même si elles ne vous poursuivent pas toujours)

Veuillez excuser mon manque de politesse, je ne me suis pas présenté. Nicolas, Nicolas Artefice. Comment se nomme une personne aussi charmante que vous ?

(Simpliste mais suffisant, la prochaine fois je penserais à prévoir mon nom d’emprunt plus à l’avance)

La jeune femme sourit...

"Vous ne mangez donc pas? A quoi cela sert que je me lve à de telles heures?"

Elle prit ensuite le chemin de la sortie, avant d'ajouter au moment de passer la porte.

"-Silvia, silvia tout court..."