Au repos merité

C'est ici que vous pourrez être soigné. Les guerriers-medecins seront à chaque instant pour celui qui demande de l'aide. Le repos mérité est un long bâtiment fortifié qui peu accueillir beaucoup de blesser. Vous pouvez aussi venir y acheté des plantes où à suivre quelques cours de médecine pour devellopé cette compétence.

Senpaï entra et fut surpris de trouver de nombreux gardes postés à l'entrée. A part amant le batiment était trés protégé. Il se dirigea alors vers un guerrier-medecin et lui demanda des soins.

L'inspectant et l'oscultant le medecin put appercevoir l'état dans lequel se trouvait notre ami. Aussi il lui indiqua une chambre dans laquel il pourrait se reposer. Il lui demanda de s'intaller, des soins lui serait alors apportés. Pendant se temps il prit le faucon avec lui en lui indiquant que les animaux étaient interdit dans les chambres.

Senpaï se dirigea alors vers une Chambre. Celle-ci était petite et contenait deux lits. Mais le deuxième lit semblait inoccupé. Il s'intalla en posant son matériel prés du lit et puis se coucha en attendant la venu des soigneurs.

Au bout d'une heure d'attente, un homme en toge blanche entra dans la chambre. L'homme paraissait déjà agée ce qui rassura Senpaï.

(C'est comme les mages, plus ils sont vieux, plus ils sont compétants. Et vu la tête de celui-ci je dois être en de bonnes mains.)

L'homme commenca à inspecter Senpaï. Il lui prit le poignet et eut l'air de compter quelque chose. Il ne savait ce qui se passait mais il avait confiance. Puis l'homme comenca à lui poser une série de questions fort précises.

"Où avez vous mal. Pouvez vous situez votre douleur sur une échelle de 1 à 10. Comment cela est t'il arriver? Avez vous des antécédants médicaux?"

(Ben j'ai mal un peu partout en fait. Hum ce n'est pas un nain mais il est bien curieux cet homme. Enfin si cela peut m'aider à guérir...)

Puis l'homme commença à palper plusieurs endroi du corps à Senpaï qui semblait avoir été touché. Il reposait alors toujours les même questions.

"Avez vous mal au bras quand je fais sa ? Et si je le tord comme sa? NOn toujours pas? Alors comme sa peut être?"

(Mais qu'es ce qu'il me veut ce fou. A force de me le torde dans tout les sens il va réussir à vraiment me le casser.)

L'homme s'arrêta alors soudainement. Il réfléchit et d'un air satisfait il s'exprima:
"Bien d'aprés mon examen, vous n'avez rien de féler. Il sagit juste de quelques plaies et contusions. Je vais vous faire des bandages puis vous devrez vous reposez. Cela permettra à votre corps de se refaire une santé. Pour s'assurer de votre repose je vous demanderais aussi de boire ceci."
Puis l'homme étala une mixture verte sur les plaies de Senpaï. Aparament c'était un mélange de fleur dont l'homme devait connaître les effets. Puis il tendit une boisson à Senpaï. "Tenez, buvez" dit il. Senpaï pensant à une potion de vie la bue sans ésiter.
Soudain une fatigue intense envahit son corps. Tout lui semblait lourd. le seul moyen d'apaiser son poid était de fermer les yeux. Il s'endormit alors comme une masse sur le lit envouté par la potion de sommeil du soigneur.

"Bien comme sa je suis sur qu'il restera tranquil durant sa guérison. Je connait les nains pour les avoir trop fréquenté. On leur dit de rester couché et on les retrouvent à la taverne du coin. Je reviendrais le voir plus tard..." Puis l'homme sortit de la piéce.

Senpaï se réveilla le lendeminen début de matiné à en juger par les rayons du soleil. Il ouvit légérement les yeux et apperçu une silhouette. Il ne put la distinguer. Celle-ci était entrain de s'occuper de lui en lui soignant ses blessures. Mais il ne pouvait la distinguer. Un brouillard opaque sétait établit devant son champ de vision. Ceci était surment un des effets secondaire de la potion. Ce brouillard l'empechait de voir clairement mais il pu appercevoir une longue chevelure brune. La silhouette paraissait être celle d'une femme plutôt de grande taille à en juger par la hauteur du lit.

Plus le temps passait plus le brouillard disparaissait. Il appercu alors une jeune et jolie infirmière qui disparue lorsqu'il reprit le total contrôle de ses moyens. Puis le médecin réaparu. Une chose était sur il ne boirait plus de cette potion aux effets étranges.

"Alors comment va mon malade aujourd'hui? Vous ne le savez surment pas mais vous avez dormi prés d'un jour entier. Excusez moi encore de la manière que j'ai utilisé pour vous endormir mais nous avons du vous recoudre aux torses. Effectivement je me doutais que les pomades ne suffiraient pas. Aussi j'ai pris l'initiative de vous endormir. Certains bléssés s'exitent dés qu'on leur parle d'aiguilles donc désormais lorsque cela est néccésaissaire nous prennons ce genre d'initiative. Mais vous avez l'air d'aller mieu. Je me trompe?"

L'air sympa du médecin ne revenait pas Senpaï. Comment avait t'il pu oser lui jouer un tel tour. Il regarda alors son torse ou résidait la blessure encouru à la suite de la charge du sanglier. Mais il n'y avait plus rien. Comme par magie la blessure avait disparue. Senpaï n'aurait jamais immaginé que des médecins pouvaient atteindre une telle perfection. Il n'y avait aucune cicatrice. De plus ces autres blessures étaient en voie de guérisons. Satisfait de voir de tels résultats il en oublia la méthode un peu sauvage qu'il avait utilisé pour y parvenir.

Senpaï fit par de sa satisfaction au médecin qui fut heureux d'entre ce qui ressemblait à des remerciements de la part du nain. Puis le medecin prit conger en prétextant une urgence ce que Senpaï compris. Avant de partir le médecin lui conseilla d'encore se reposer pour une guérison totale rapide.

En début d'aprés midi on apporta de la compagnie à Senpaï. Une femme vint occuper le lit à côté du sien. La femme paraissait assez vielle et d'une beauté repoussante. On lui présenta comme une bléssée suite à une chutte devant l'établissement. Senpaï n'en avait que faire. Du moins pour l'instant... En partant un des querrier lui souhaitat bonne chance. Au début il compris cela comme un souhait de bon rétablissement mais il se trompais. Il compris vite la vrai significtaion de cette phrase.

Effectivement tout le reste de la journée la femme ne fit que lui parler. Elle lui raccontait tout et n'importe quoi. Des évènements insolites de sa vie aux plus banales en passant par des allitérations sur la fin du monde, elle ne fesait que parler, parler et encore parler. Senpaï n'en pouvait plus. Cela fesait quelques temps qu'il n'avait pas utilisé son arme et l'envi l'en démangeait. Il eut même l'idée de lui donner un peu de la potion du médecin mais le récipiant était vide.

"MAIS TU VAS LA FERMER LA VIELLE !!! JE M'EN FOU DES TES HISTOIRES. LAISSE MOI ME REPOSER TRANQUIL." cria t'il fou de rage aprés prés de trois heures de bourrage de crâne.

Mais Senpaï regretta trés vite son geste. Véxé le femme se mit à pleurer. Et la elle partie dans un monologue plein de lamentation sur sa vie entiére en passant par la méchanceté que le nain venait de lui témoigner.

(Et c'est repartit. Je ne peux pas rester ici plus longtemps. Elle va me rendre fou. Si sa continue je vais faire quelque chose que je risquerait de regretter. Frapper une vielle pour la faire taire, cela est bon pour les barbares, pas pour moi.)

Il prit alors ses affaires et sortit de la chambre soulagé de ne pas avoir sucombé à la tentation. De toute façon il était en pleine forme. Ce séjour dans l'établissement l'avait remit sur pied. Il fit par une nouvelle fois de sa satisfaction et de son envi de quitter les lieux au médecin qui s'était si bien occupé de lui. Enfin il ressortit de l'établissement accompagné de son faucon qu'on lui rendit à sa sortie.

En entrant, les deux passant appelèrent un medecin. Pendant ce temps, le faucon ainsi que le chevreuil lui firent enlever par un garde. Senpaï, soulagé s'allonga sur un brancard.

Il reconnu le medecin qui arrivait. C'était le même que la dernière fois. En voyant Senpaï, il sourit et plaisanta.
"Et bien qui voila. Notre guerrier préféré. A peine sortit vous voila déjà revenu. Il va falloir envisager de prendre une carte de fidélité si vous venez aussi souvent chez nous. Alors c'est pour quoi cette fois? Hum... Je suppose que vous souhaiter qu'on vous enleve ce couteau. Rassurez vous se n'est pas un problème. D'ici une petite vingtaine de minute se sera fait. Mais vous m'avez l'air exténué. Tenez buvez cette eau fraiche..."

Senpaï avala la boisson que lui tendait le médecin et compris trop tard que ce n'était pas de l'eau. Il s'endormit sans un mot.

A son réveil, il se modie d'être une fois de plus tomber dans le piège du médecin. Mais contrairement à l'autre potion il n'avait aucun mot de tête. La raison fut surment la puissance diminué de la potion. Aprés tout le médecin avait juste voulu l'endormir une vingtaine de minutes. Il ne sentait plus de douleur au niveau de sa jambe et celle-ci était bandé.

Alors qu'il regardait le travail qu'on avait éxécuté sur sa blessure le médecin réapparu.
"Je suppose que vous ne resterez pas. Vous aviez l'air en forme en dehors de cette blessure. Je vous ai donc enlevé le couteau et posé ce bandage pour faciliter la cicatrisation complète. La blessure n'étant pas infecté et peu profonde, je pense que vous pouvez sortir. Bien sûr, évitez les émotions fortes pour ce soir au moins. Il sera important de garder la jambe au repos au moins 24h si vous voulez guerrir vite. C'est à peu prés le temps néccéssaire pour que la mixture que je vous ai administré face effet et cicatrise complétement la plaie. A tenez j'oubliais... voici un souvenir !"

L'homme lui tendit un petit couteau. Senpaï compris alors que c'était le même qui se trouvait préalablement dans sa cuisse. Il trouva alors l'humour de l'homme un peu morbide, mais aprés tout il se trouvait dans un hopital.

Remerciant une fois de plus le médecin, Senpaï reprit ses affaires personnel. Se dirigeant vers la sortie il put entendre le médecin lui crier :

"A bientôt l'ami. Vous êtes le bienvenue ici vous savez !"

( A bientôt, à bientôt, il est drôle lui. Je compte pas me faire taper dessus tout les jours. Une carte d'abonnement et puis quoi encore. A jamais je l'espère !!!)

Sur ces mots Senpaï sortit de la batisse.

Anubarak entra dans le vaste bâtiment, en entrant il vis plusieurs lits se trouvant à terre, donc quelques draps ,tacher de sang, cacher des bléssés qui ont sûrement combattut hardamant pour arriver à cet état là.

Le Helfov se dirigea vers, ce qui ressembler à un comptoire, où plusieurs 'infirmier' se trouver, Anubarak s'approcha et demande ce qu'il devrait faire pour vite guérrir son bras droit

Tout d'abord, un médecin s'approcha de lui et regarda l'état de la blessure ... et demande en appuyant sur le bras

"Avez-vous mal si je fais celà ? ..."

Le Halfov répondit affirmativement d'un signe de la tête sans faire un geste quelconque ou un bruit qui prouve sa douleur.

" ... vous êtes solide, cette blessure ne vous génera pas si vous faites des travaux manuels, mais en combat, hum .. celà risque de déranger ..."

Le médecin demande au Halfov de le rejoindre dans une pièce à par, cette pièce était remplie de flacon, dans cette pièce régner aussi une drôle d'odeur, sûrement l'odeur des mixtures qui chauffent et bouillent.

Le médecin s'arrêta et réfléchit, puis se dirigea vers, ce qui sembler être une armoire, puis prit une potion de couleur violette et se dirigea vers le Halfov.

"Tenez ! buvez ceci-, d'ici demain vous pourrez à nouveau combattre, voyant guerrier"

Après avoir donner la potion le médecin, sortit et partit voir d'autres malades, qui eux sembler avoir des blessures plus grâves.

(je le comprend, pour une simple déchirure, il en a rien à faire, tandis que d'autre souffre le martyre ...)

Il ouvra la bouteille et la buva d'une gorgée.

( ... pas si ... beurk ! ...)

Le Halfov toussa légèrement et déposa le flacon avant de sortir, en sortant il se redirigea vers le comptre et demander

"Excusez-moi de vous déranger encore une fois, mais j'ai remarquer que vous utilisez des plantes pour faire vos potions médicales, et je pratique un peu la médecine et la naturologie, et je me demande si vous auriez besoin de quelqu'un d'une personne pour aller vous 'chassez' quelques plantes qui ont des propiétés médicales ... ?"

Il attendit une réponse de l'un des infirmiers qui sembler occuper...

((HRP: tu regagnes 20% de tes PVs.))

LE soigneur te regarda étonnament. Puis calememnt , il te répondit sans interface.

"Nous n'avons besoin d'aucune plante supplémentaire. Nous en cultivons la plupart ici, et l'autre partie des personnes de cet hopice y vont, tout est prévu.

Par contre, si vous etes bon en médecine et en naturologie, pourquoi n'allez vous pas chercher ces plantes vous mêmes? Vous pourriez créer vos potions de soins seul...ou sinon revenir avec les plantes et nous vous coconterons la potion à bas prix!"

Anubarak n'avait pas penser à cette éventuelle subjection ...

( ... je n'y avais guère penser, peut-être que dans els environ de la ville il y aurait des plantes médicinale ...)

Il quitta son air pensif, et regarda le médecin qui lui avait suggerer cette idée

"Merci beaucoups, je vous laisse dans votre travail intenssif, et encore désolé pour le dérangement"

Il quitta le bâtiment sans attendre

Après un certains temps, juste avant que l'aube arrive, le Halfov arriva à l'hospice, il vit quelques personne sortirent, sans doute des guerriers rétablient de leurs blessures.

Le Halfov rentra sans tarder, la nuit était déjà tomber etun petit vent froid y souffler.

En entrant Anubarak vit moins d'infrimier et de médecin que tout à l'heure. Après cette observation il s'approcha du comptoire.

" ... Bonsoir, j'apporte quelques plantes et champignons, est-ce qu'avec celà vous pourriez me concocter des potions à prix baissé ? ..."

Les ingrédients qu'il dépose sur le comptoire est quelques planates violletes au feuilles jaunes et quelques champignons au chapeau vert et au pied blanc ...

Anubarak: naturologie (pour voir si tes plantes sont bonnes, j'aurais du le faire dans la foret mais tu est reparti dès le premier post, enfin pas grave.):18

Le médecin te regarda puis te répondit promptement.

"Oui, on peut vous faire une bonne potion, de quoi se régénérer un peu. Cela vous coutera 15 jols, et vous pourrez vous sortir de quelques légères blesures."

KIARAN: ----> depis ta mission.

Le silence était brisé à présent. Etonnement... cela parlait autour. Des voix...des paroles...

Tes yeux parvinrent à s'ouvrir, un peu, laissant entrer un raie de lumière. Tu ne pus les ouvrir totalement, tant la lumière te blessait les yeux. Tu vis tout de même à ton chevet une infirmière, ainsi que le milicien qui t'avait donné ta mission.

"Bonjour...Enfin, vous vous reiveiller, je me suis demandé si vous le pourriez.".

((Tes PVS sont à 0 disons le clairement))

Kiaran avala sa salive avec difficulté mais parvint à dire :

"Ma prime s'îl vous plaît...quartier populaire...entrepot...Kryga...Kulgan...femme halfov."

Il sombra de nouveau dans le noir.

Tu pus à nouveau ouvrir les yeux. Tout était plus clair, est l'infirmière repartait, un flacon à la main. Le milicien souriait.

"Oui nous savons tout. mademoiselle vous a donné une potion, qui vous laissera deux heures de répit, avant que les blessures ne se réveillent."

Il se leva, et bougea la chaise tout près de ton lit.

" Mademoiselle que vous avez aidée vous a aidé en retour. C'était une milicienne qui se tenait dans les environs de la taverne, dans le but de se faire aussi enlever, pour infiltrer la guilde. Nous avons joué sur deux terrains...

Enfin elle est venue nous chercher tout de suite après q'elle fut échappé, et on a réussi à intervenir. Personne n'est mort. Mais dans la mascarade, beaucoup se sont enfuit. Nous avons pu attrapper que quelques halfovs et deux humains. Enfin, leur qaurtier général principal a été repéré et anéanti."

Il baissa u peu la voix cette fois.

"Tout ceci est toujours secret si vous voyez ce que je veux dire. A présent pouvez vous me faire un rapport de ce que notre milicienne n'a pu savoir, ou découvrir.?"

Kiaran se mit en position assise puis commença son recit :

"Alors j'ai tout d'abord recherchai un Halfov dans le quartier populaire. Après des recherches veines j'ai passai un cran au dessus et j'ai attauqai un passant sans pour autant le tuer ou le blesser. Bon j'ai dû m'enfuire devant un milicien et une foule en colère. Là je suis tombé sur un halfov du nom de Kryga qui m'a emmenait dans l'entrepot. J'y ai rencontré 2 frêre dont je ne me rappelle put les noms. Ce sont eux lex chefs de cette organisation, leur père a sois disant rencontré Kulgan, deesse du sang. Depuis ce jour à chaque nouvelle lune ils sacrifiaient des personnes. Comme j'ai refusai d'être de leur côté j'ai du les combattres...ensuite vous connaissez la suite..."

Kiaran reprit sa respiration, essouflait par son recit.

Le milicien parut déçu. Il retomba contre sa chaise, puis joua avec la possière.

"Vous ne vous souvenez vraiment plus de leurs noms, de ces deux chefs? Refléchissez...

Et n'avez vous rien appris sur cette organisation? Certains de leurs modes de vie de leurs façons de faire...?"

Kiaran porta sa main à son menton :

"Attendez je crois quese sont les frêre Veinlt...oui c'est cela...Kiren et Mylten Veinlt...en parlant d'eux, vous ne les aurez pas eut par hasard...Ce satané Kiren avait ma hache...et j'aimerai bien les retrouver pour leur faire la peau à ses 2 là"

Kiaran tapa du poing violamment contre le mur qui trembla legerement puis d'un ton plus calme continua:

"Concernant leur organisation je n'en sait trop rien...a part leur sacrifice toute les nouvelles lunes..."

Le milicien n'était pas plus avancé, et cela se voyait sur son visage.

"Les freres Veinlt, oui je voies, cela explique quelques choses....."

Il se leva de la chaise, puis tira une bourse de sa poche.

"Malheuresement , aucune des personnes que vous avez nommé n'a été arrété. Nous étions peu d'effectif, vu la réaction rapide qu'il nous a fallu pour vous sortir de la. Sinon, pour l'organisation, tant pi, peut etre les autres victimes ont quelques souvenirs."

Il déposa la bourse sur la table de chevet, puis partit en direction de la porte.

"Comme promis, vous avez aussi une place parmi la milice. Nous verrons cela quand vous serez rétabli."

Puis il sortit.

Le détail de ta mission a été expliqué donc je ne te rappelerais pas pourquoi tu as tant.

GAINS: -23XP à repartir en MP
-400 jols
-une place de milicien
-le droit à une semaine au sanctuaire

Lorsque le milicien sortit, kiaran posa sa tête sur les oreillers moelleux et s'endormit pour une nuit sans rêve. Aussi vide que la tête des gobelins ayant perdus la tête.

Le matin un coq reveilla le grand guerrier. Il ouvrit les yeux difficilement, brûlaient par la lumière du soleil. Sa bouche etait pateuse, un mal de tête le faisait serrer les dents et sa jambe le faisait atrocement souffrir, du fait du coup de hache...de sa hache.


(Ho saleté d'halfov, d'ordure...repugnante creature lache et sans honneur, je te retrouverais, toi est ton frêre)

Kiaran se dit qu'après un bon retablissement il pourrait allait voir les prisonniers de la guilde. En même tant il prendra ses fonctions de miliciens. Un bruit apparut dans la pièce, quelqu'un frappait à la porte. Kiaran cria que c'etait ouvert et un homme robuste, portant la robe des medecins entra dans la pièce. Il sourit puis commença à parler :


"Alors comment va notre grand blessé?"

Kiaran repondit avec un sourir forçait :

"Bien...j'ai juste la jambe à moitié arrachait, le crane explosa et un mal de chien"

Il essaya de se relever mais en vint. L'homme s'approcha et sortit differentes choses. Il posa sa main sur le torse de l'halfov et lui posa une fiole dans la main.

"Tenez, vous me boirez cela tout les 6 heures, cela attenura la douleur, ensuite je vais vous changer votre bandage. Enfin vos bandages."

Kiaran ouvrit le flacon et un but une gorgé. Il eut du mal à ne pas tous recracher tellement le liquide etait infecte. Après un regard amusé le medecin s'approcha de kiaran. Avec des pinces il retira le bandage autour de la tête de l'halfov, le bandage autour de la jambe et une fine lingette pressait contre la morsure à son coup. Kiaran y porta la main et fit un visage de profond degoût.

"Je vais garder cette morsure à vie? la honte, un halfov mordut par un autre halfov."


"Si vous voulez je peu la faire disparaître mais cela sera douloureux."

L'halfov fit un hochement d'épaule et laisse l'homme exercer sa tache. Il prit une sorte de patte malodorante et l'ettala sur la jambe avant d'y faire un pansement. Il examina ensuite la tête mais n'y toucha pas du fait que la blessur n'etait que superficiel. Il prit ensuite un scapel et c'est suivit par les grognement de l'halfov qu'il cisalla la plaie au cou avant dit mettre egalement un bandage. Son travail finie, il salua kiaran puis le laissa s'ecrouler de fatigue et s'endormir.

Un coq sonna dans le lointain, l'halfov poussa un grognement. Il se souleva pour faire tair le coq avant de se rendre compte qu'il etait encore a l'hopital. Son mouvement brusque lui fit apparaître, non renforcait la douleur augue à son crane.

(AIE...P****N, DE B****L DE M***E....saloperie de blessur).

Il attrapa le flacon que lui avait donné son medecin et en but une gorgé, il fit une grimace de degoût et replaca violamment le produit sur sa table de chevet. Kiaran examina ses blessures, sa jambe avait prit une horrible teinte noir-rouge autour de sa plaie, il remit le bandage en place. Sa crane avait desenflé mais il avait aussi mal que la veille. A son cou il tata la plaie, celle ci avait etait recout. Certe la morsure serait moins visible mais il gardera probablement une cicatrice. Il examina aussi ses mains et vit avec satisfaction qu'elles avaient retrouvées un peu de couleur...enfin pour un halfov...vu les litres de sang qu'il avait du perdre, il faudra certainement quelques jours avant que celui ci n'afflut de nouveau normalement dans son corps.
Quelqu'un frappa à la porte et entra, c'etait le medecin de la veille. Il avait toujours ce sourire bienveillant accroché au visage.

"Bonjour Kiaran vous êtes bien matinal."

L'halfov poussa un grognement et repondit :


"C'est à cause de se saleté de coq...mais bon. Au faite pouvez vous me dire si cela est normal...je veux dire la couleur que la plaie a prise."

Le medecin defit le bandage de la jambe et examina la plaie d'un oeil d'expert.

"Hum...il y a une legere infection...bien, pardonnez moi mais vous aurez d'autre produit à prendre. Vous avez pris la potion contre la douleur?"

"Oui je l'ai pris...et vous savez un produit de plus ou de moins...j'éspère qu'il aura meilleur goût que l'autre..."

L'homme sourit avant de rajouter:

"Ne vous en faîtes pas...bon attention cela va piquer un peu."

Il versa un produit sur la plaie, se qui fit pousser un jurons au guerrier. Il refit ensuite le bandage et verifia les autres blessures. Lorsqu'il eu terminé, il donna un nouveau flacon a boire pour stopper l'infection et sortit de la pièce. Kiaran pas tout à fait remit decida de passer la journée au lit, ruminant de sombre pensées.

Le lendemain, l'halfov se reveilla. Les blessurs etait moins douloureuse mais cela le grattait effroyablement au niveau du cou. Il ouvrit les yeux et la première chose qu'il fit, fut de verifier l'etat de sa jambe. La plaie avait reprit une couleur à peu près normal, c'est à dire dans le violet et commencait à cicatriser, par contre elle avai legerement enflait.

(Bien la journée commence bien...mais si cette satané plaie pouvait arreter de me gratter...ce serait genial.)

Il saisit le produit contre la douleur, et en but une gorgé. Le goût etait horrible, il regarda la bouteille avec degoût, il devait en prendre une seconde gorgé. Il decida donc de le melanger avec le deuxième flacon, celui qui devait le guerrir de l'infection. Il s'en empara, l'ouvrit et renifla...bien il devait être aussi epouvantable que l'autre. Il saisi un verre, y versa une dose de chaque produit, cela donna une sorte de liquide violacé peu attirant.

(bien...1...2...3)

Il but le produit d'une traite. Les yeux lui sortir du visage, il porta la main à sa bouche et sauta en bas du lit. Il se traina lamentablement jusqu'à la fenêtre l'ouvrit et recracha le tout dehors. Il retourna s'assoir sur le côté de son lit, ecoeuré. Le produit lui avait grillé la langue et avait un goût de chaussette melangé à des oeuf pourris.
Comme d'habitude la porte s'ouvrit après que l'on eu frappé. Le medecin entra. Il plissa les yeux et examina la pièce, aperçevant le verre dans lequelle il restait du liquide et la mine deconfite de Kiaran, il sourit et prit la parole:

"Cela n'a pas dû être agreable...vous ne voulez pas melanger le beaume cicatrisant aussi...où bien même le bandage ?"

Kiaran lui jeta un regard noir. Le medecin hocha la tête et continua.

"Au moins vous pouvez remarcher...mais vu que vous avez recraché vos medicament, il va falloir les reprendre..."


Kiaran blêmit et il fallut près de un quart d'heure pour lui faire boire les infame liquides. Le medecin verifia les blessurs et pratiqua les soins habituels. L'halfov passa le reste de la journée à faire certain mouvement pour qu'il puisse reposseder toute ses fonctions. Essayant de ne pas deprimer lors des repas...legume et eau.

Senpaï pénétra dans la bâtisse. Celle-ci était toujours autant gardé et l'activité ne diminuait pas. Il attendit donc que quelqu'un soit disponible pour le renseigner. Une personne se dirigea alors vers lui et l'orienta vers une chambre sans trop s'occuper de lui. Apparemment les médecins semblaient très occupé.

Il se dirigea donc vers la chambre indiqué. Il s'agissait de nouveau d'une chambre à deux lits mais quelqu'un occupait déjà le deuxième. Une femme était allongé et grignotait quelque barre de chocolat. A son entrée dans la pièce celle-ci fit mine de les cacher. Senpaï pensa donc que ce genre de nourriture devait être interdite dans l'établissement. A la vue du nain, elle recommença à dégusté son repas gourmand.

En s'approchant d'elle il put se rendre compte qu'elle était enceinte. la surprise envahit alors l'esprit de notre guerrier.

(Mais...mais... elle est enceinte! Qu'est ce qu'elle fait ici? N'y a t'il pas d'autre établissement dans cette cité pour ce genre de cas? Ou alors peu être s'agit il d'une guerrière... Enfin bon tant qu'elle ne crie pas trop tout ira bien.)

Il s'allongea alors sur son lit sans engagé de conversation. il ne désirais pas commencer à parler dès son entrée dans la pièce. Les femmes enceintes étaient du genre à ne plus s'arrêter lorsqu'on les démarraient. Et puis les quelques bières précédemment ingurgité commençait à faire effet.

Soudain un homme entra dans la pièce. La femme comme à son habitude cacha son chocolat. A vrai dire cela ne servait pas à grand chose au vue de sa figure barbouillé. Mais l'homme n'y prêta pas attention. Il se dirigea vers notre guerrier.

Il lui posa des questions précises sur les raisons de sa venu et l'examina comme lors de sa dernière visite. Une fois de plus l'homme appuya sur ces blessures et tordit ces membres dans tout les sens possibles. Néanmoins l'homme semblait ne pas vouloir perdre de temps. Il écrivit alors quelques mots sur sa fiche et donna son diagnostique.

"Bien il ne s'agit que de blessures bénignes. Pas de soucis à se faire donc. Vous n'avez rien de casser. Il s'agit juste de quelques plaies à refermé. Je pense qu'une potion et quelques bandages suffiront amplement. Vous pourrez surement ressortir dés demain. Une bonne nuit de sommeil accompagné de quelques soins de notre part et vous serez comme neuf. je repasserais donc demain en fin de mâtiné afin de juger de votre état. D'ici là reposé vous bien si vous ne voulez pas rester ici plus longtemps."

Puis l'homme sortit sans autre mots. Notre guerrier était fort satisfait de ce diagnostique. A vrai dire ces blessures ne lui avaient pas fait mal lors de son retour vers la cité et la majorité c'était déjà cicatrisé. Senpaï salonga alors sur lit essayant de se reposer en attendant les soins promis.

Comme il l'avait pressentit le silence dans la pièce ne dura pas. La femme commença à lui parler mais à vrai dire cela ne le dérangea pas. Il n'avait point envie de dormir, ses blessures ne le faisant pas souffrir, et il attendait que quelqu'un vienne lui porter les soins diagnostiqué par le médecin. Il discuta alors avec la femme de tout et de rien. Au premier abord celle-ci lui avait semblé un peu dérangé mais en fait il s'avéra qu'elle était très sympathique.

Il parlèrent dans un premier temps de l'établissement. Senpaï appris que certains des soigneurs c'était rendu à une sorte de congrès et que cela avait diminué les effectifs de l'établissement pour la semaine. Cela expliquait donc la précipitation et le temps d'attente. Notre guerrier comprenait qu'on privilégie en premier lieu les personnes dans un état plus pittoresque que le sien. Mais il espérait bientôt être soigné car plus vite il serait rétablit, plus vite il sortirait.

Puis il en vinrent à l'état de la femme. Il s'agissait en faite d'une étrangère de la cité. C'était la raison de sa présence ici. Elle ne connaissait ni soigneur particulier, ni logis ou on aurait put l'acceuillir. Elle habitait à quelques lieu d'ici et par sécurité sa famille avait préféré l'amener en ce lieu. La femme paraissa tout de même très jeune et elle lui avoua ne pas avoir souhaité l'enfant. Une erreur de jeunesse dit elle. Néanmoins désormais elle ne pouvait plus reculer et elle se préparait doucement à la suite des évènements. Elle était à neuf mois de grosse. L'heureux évènements était donc pour très bientôt.

Enfin il s'attardèrent par la suite au parcours de notre nain. Il lui compta quelque aventure et son ambition de devenir un grand guerrier. Elle lui avoua que le rêve de parcourir le monde lui avait parfois traversé l'esprit mais que désormais elle ne pouvait plus se permettre de tels pensées.

Soudain une jeune et jolie jeune femme entra. Elle portait une grande robe blanche laissant transparaître ses formes élégantes. Ses cheveux blonds étaient attachés par un élastiques vert de la même couleur que ses yeux. La femme se rapprocha du nain et lui donna sa potion. "Tenez buvez sa vous fera le plus grand bien maître nain." dit-elle d'une voie douce. Senpaï était sous le charme. Certes le fantasme de l'infirmière était quelque peu banal mais cette femme était tellement belle. Il l'écouta donc sans rechigner. Puis elle s'installa auprès de lui et commença à appliquer une pommade verdâtre. Surement à base de plante médicinal, l'onguent semblait agir vigoureusement sur ces plaies. Senpaï ressentit même une petite douleur très désagréable qui lui fit fermer les yeux. "Sa va aller? Je sais que cela peux paraître fort désagréable mais vous verrez demain tout ira mieux. Je peux faire quelque chose pour vous?" dit la jolie voix.

En rouvrant les yeux afin de répondre à la demoiselle, notre guerrier put apercevoir la jeune femme droit dans les yeux. Celle-ci examinait ses plaies au niveau du visage. En même temps il avait une vu plongeante sur son décolleté, qu'il trouva fort généreux. Essayant de se concentrer sur autres choses, il tenta une réponse :

"Euh... et bien... certes la pommade pique un peu... mais vos soins sont fort agréable... oui agréable c'est le mot. Me faire soigner par une femme charmante comme vous... c'est divin... divin!!!"

Senpaï tentait tant bien que mal de résister au charme de cette vision mais la tentation était trop forte. La femme quand à elle semblait insensible aux compliments du nains comme si cela était habituel. "Bien je crois que sa suffira". La jeune femme se releva et reprenant ses ustensiles reprit le chemin de la sortie. "Bon rétablissement" dit elle d'une voix si agréable au oreille de notre nain.

"Belle plante hein monsieur le nain! Je voie que vous en avez bien profité! Apparemment il n'y a pas que l'or qui interesse les nains. En même temps elle ne se cache pas trop. Ah il y a des femme je vous jure..." Dit la femme enceinte à notre guerrier une fois l'infirmière partit. Senpaï quand à lui oublia difficilement la magnifique image qu'il venait de percevoir.

Les deux colocataires discutèrent encore quelques temps avant que la fatigue atteignent notre guerrier. A vrai dire il n'avait pas encore pleinement récupéré de toutes ses journées de marche. Il souhaita donc une bonne nuit sa compagne de chambré et plongea dans un profond sommeil.

Notre guerrier dormait donc paisiblement et profondément. A vrai dire pas aussi profondément que sa car son sommeil fut troublé en plein milieu de la nuit. Lorsqu'il ouvrit les yeux il put voir qu'une bande de soigneur avait envahit la salle. La femme était entrain d'accoucher. Elle poussait des cris de douleur et tentait de pousser du mieux qu'elle pouvait.

"Maître nain pouvez vous nous aider s'il vous plaît. Il faudrait l'aider en la soutenant, en l'encourageant. L'infirmière qui s'en occupe d'habitude est occupé ailleurs. S'il vous plaît venez!"

Senpaï ne savait que faire. C'était son premier accouchement et il ne savait pas comment s'y prendre, quoi dire. la femme semblait souffrir alors il accepta et s'approcha d'elle. L'homme voulait qu'il l'encourage...

"Euh c'est à dire que... je ne sais pas trop quoi dire... euh c'est bien madame continuez...(bon faut faire quoi? Qu'est ce qui me dis l'autre la bas?) Poussez? oui voila c'est sa poussez! Le petiot va sûrement bientôt sortir. Vous voulez peu être ma main pour poussez plus fort? Oui? Voila tenez, vous pouvez la serrez. Aïe ! Ou la ou la doucement... quand je disais serrez, je voulais pas dire broyez... madame s'il vous plaît ma main, ma main... (Quelle idée j'ai eus elle va me broyer la main cette folle si sa continue comme sa. Comment sa se passe de l'autre côté? Il sort le gamin ou pas?) Ou la la c'est pas grave continuez y a un truc qui sort là. C'est bien faut continué madame. Bientôt vous serez deux à brailler. Allez continuez. Quoi? faut quel souffle? d'accord soufflez madame! Faut faire le chien? Comment sa le chien! (Le chien ? Il se fou de moi celui la? Attend comment sa le chien? Faut faire Aoooouuuuuuu? A non sa c'est le loup! Merde alors le chien... a oui je sais comme quand il sort sa langue...). Voila c'est sa soufflez et poussez. Un dernier petit effort. (Bon elle pousse ou quoi?) Allez la! Pousse j'ai dis! La tête et c'est bon. Si c'était moi il serais déjà sortit! Allez .... oui... voila ...."

Soudain un crie supplémentaire et bien plus aigu envahissa la pièce. L'enfant venait de naître. Le visage de la femme s'embellissa comme jamais. La joie de celle-ci fut si grande qu'elle en pleura.

"Et bien... merci monsieur... vos encouragements étaient très spéciaux mais c'est le résultats qui compte on va dire. Je vais désormais la transférer au quartier de la maternité afin d'examiner l'enfant. Reposé vous maintenant..."

Sa y est? C'était terminé. La jeune femme avait accouché. Le petit à peine né commençait déjà à ennuyer le monde en braillant de tout ses poumons. Senpaï se dit donc qu'il devait bien se porter. Et la femme malgré la douleur paraissait heureuse d'avoir put accoucher du mioche. C'était le premier accouchement de Senpaï et il s'en était plutôt bien sortie. A plusieurs moment il aurait voulu anesthésié la femme d'un bon coup de masse pour qu'elle ne souffre plus et qu'elle ne fasse plus souffrir ses oreilles mais il y renonça trouvant cette méthode un peu bourrine et pas très médicale. Il repartit donc se coucher. La monté d'adrénaline ne lui permit pas de s'endormir sur le coup. Mais le clame si soudain de cette chambre désormais inhabité lui permirent de retrouver le sommeil.

Le lendemain le réveil de notre guerrier fut plus doux. Il se réveilla en compagnie de la jolie infirmière et du médecin. Celui-ci le remercia de son acte de la veille et le rassura en ce qui concernait sa guérison. L'infimière lui retira ses bandages. Il put alors s'appercevoir qu'il n'avait plus rien. Les blessures avaient disparues et aucun cicatrices n'étaient présentent. Il remercia alors le médecin et se leva. Il put alors constater qu'il avait bien récuperer. il ne ressentait aucune fatigue. A vrai dire il semblait qu'il avait bien dormit. il put remarquer dans le couloir que l'on rangeait déjà les plateaux repas du midi. Il avait donc dormit toute la matiné, surement exténué de cette activité nocturne. L'homme l'invita alors à le rejoindre à l'extérieur.

Le medecin le raccompagna donc à la sortie escorté par la jeune infirmière. Il put apprendre que l'enfant et la femme se portait admirablement bien mais que la fatigue ne lui permettait pas encore de recevoir de visite. L'enfant quand à lui était en pleine forme et ne présentait aucun problème de santé.

Consernant les blessures de Senpaï, le medecin confirma la totale guérison du nain comme il l'avait espérer. Il s'excusa encore d'avoir du faire participer le nain à l'accouchement de la femme mais semblait ravi que notre guerrier ai accepté d'y prendre part. une fois au porte de l'établissement il salua le nain pour lui témoigner sa gratitude ainsi qu'en guise de remerciement. La femme quand à elle se raprocha du nain et lui fit un baiser sur le front :"Voici un baiser pour saluer le courage de notre maître nain sauveteur"

Le nain rougit un peu mais accepta ce témoignage fort agréable. Puis il prit la direction de la ruelle, heureux d'avoir retrouvé une forme olympique.

Kiaran se reveilla du mauvais pied ce matin là. Après un rapide constat sur ses blessurs, il se dit qu'il faudrait encore quelques jours de soins, mais l'halfov n'aimait pas rester passif, s'il ne tuait pas un gobelin bientôt il deviendrait fou.

(Et si l'on me fait encore avaler une de ces stupides potions je desosse le medecin).

Il s'assit sur mle bord de son lit, regarde d'un oeil morose la salade posé sur la table. Il prit l'assiette et la lança contre la porte. Celle ci s'ouvrit au même moment et le medecin qui entrait du s'abaisser pour eviter l'assiette. Il regarda severement l'halfov tout penaud par son geste.

"Alors, on ceux sent d'humeur mauvaise aujourd'hui...hum?"

"J'aimerai vous y voir moi, j'ai besoinde bouger pour vivre, cette ambiance pour detruit la santé."

L'homme sourit et s'approcha. Kiaran eut alors une petite idée. L'on devait bien vendre des potions ici. Bon on est pas vraiment soigné quand l'on en boit une mais on est guerri quand même, assez pour sortir d'ici.

"Dîtes vous aurez pas une potion de santé comme on vend dans les diffèrente boutique."

Le medecin jeta un regard soupconneux à kiaran et lui repondit :

"Si bien sûr, pourquoi cela messir?"

"He bien, je me disai, vous pourrez m'en vendre une?"


"Bien sûr mais à une seul condition, je veux que vous finnissez votre journée ici et que vous preniez votre traitement"

Kiaran poussa un soupir à fendre l'âme mais accepta l'offre. Il saisi les deux potions affreuse qu'il devait boire, les melangas...puis se rappela ce qui lui etait arrivé la veille.

"Que dieux est pitié de mon estomac"

Il vida d'un trait l'affreuse mixture et failli vomir sur le drap qu'il porta à son visage. Le visage blême il s'ecroula sur le dos. Il se releva une main sur le coeur et regarda le medecin qui souriait à pleine dents.

"Bien...je vais vous chercher cela"

Il sortit de la pièce et revint quelques minutes plus tard, une petite fiole à la main.


"Ceci est un Elixir complexe d’acide de feuille d’arbre à Myrre, venue tout droit de mythak et confectionné par le célèbre ezekieu. Cela fait guerrir en un temps record mais bon je n'ai guère confiance en cet alchimiste...je me demande pourquoi d'ailleur... bien cela vous fera 50 jols"

Kiaran se leva, sortit une poigné de pièce qu'il foura dans les mains du medecin, le remercia et le laissa partir. Il decida de se reposer le reste de la journée, heureux de pouvoir sortir. La nuit approché, il prit alors toute ses afaires, but sa potion et sortit de sa chambre...puis du sanctuaire.


(((Pour les pjs, je n'ai pas inventé cette potion et son prit, j'ai du demander la permission à nela et lui demander le coût en mp...voila pour pas que l'on crit à l'escrocrie.)))

Senpai le nain arriva en trombe, porté par deux hommes. Le sanctuaire était vide à cette heure, les habitants de Keutrop délaissant les bagarres pour s'en partir à l'arene. Ce fut une chance pour le nain. Peut etre.

Peut etre la seule, la derniere. La chance ne signifie pas toujorus vivre, ne signifie pas toujours gagner et réussir. Elle signifie ce que vivait le nain, qui était déjà en route pour l'autre monde. Ce qu'il vivait, la possibilité de changer son destin nefaste.

Un des guérisseurs vint. Il repartit plus vite encore. Le nain ne serait jamais le même. IL existe en certains point du corps des choses qui font, qui décident du mouvement des autres. C'ets le cas de la nuque. Les guérisseurs de Gutaik savent tous que cet endroit est un de ces lieux. Il entraine la paralysie.

L'homme revitn avec d'autres, et ils se mirent au travail.

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"Humpf"

De la lumière. Un pointe arrivant dans tes yeux. Une chambre simple, avec un seul lit. Une chambre simple. De la lumière dehors qui entre jusque toi.

Le vide.

Une table de chevet avec une bourse.
Un plateau repas sur la table.

Tu tends le bras pour l'atteindre...
MAis le bras ne bouge pas???!!!

HRP: j'arrete là c'est déjà aps mal. Je pense que tu peux poster emplement 1) la fin du combat 2) ta "mort" (ce qui t'arrive), et les réactions pour l'instant.