Chez Jack le Borgne

Jack le Borgne s'est fait connaître dans sa jeunesse pour avoir été l'un des pires brigands de la région. Aujourd'hui à la retraite Jack dispose d'une petite équipe de mercenaires à sa solde capable de réaliser de multiples travaux pas forcements illégaux même si ceux ci reviennent moins cher.

Il lui arrive parfois de rechercher de la main d'oeuvre.

J'étais pénétrer dans une boutique très sombre. Les mur était de couleur brun et l'endroit étais poussiereux. Il y avait des chaise d'attente et un comptoir pour les demande, mais personne était deriere celui-ci.

Sur le mur de droite il y avait une petite affiche, je me diriga vers celle-ci.

Recherche de main d'oeuvre, demander un dirigeant pour plus d'info.

Après cette lecture je me diriga vers le comptoir et cogna 3 petit coup.

(((tu ne peut pas changer l'histoire d'un endroit, normalement il ne recherche pas de la main d'oeuvre, mais bon comme tu est nouveau )))

Jack le borgne s'approcha de toi, sur son oeil droit etait apparut une balafre qui faisait froid dans le dos, il te regarda de son oeil valide puis te demanda.

"C'est pour quoi? qu'est c'tu veux à taper comme ca sur mes meuble?"

L'homme attendit ta reponse.

L'homme arriva,et celui-ci était en train mauvais poil.

"Désoler de vous importuner, mais je voudrais savoir si vous chercher quelqu'un pour faire un travaux quelconques?"

J'attendis sa réponse, surtout que je savais que celle-ci serait pas très jolie.

L'homme te lança un regard mauvais.

"Vous croyer pouvoir nous servir, il faut deja avoir combattut et avoir de l'experience pour travailler chez nous. Je te payerais plus de 2000jols que si tu arrive à tuer adelaide...hahahaha....allez gamin va t'en d'ici je suis sur que des personnes agées attendent que l'on soccupent d'eux."

la reponse de l'homme le choqua, mais Adom connaisait les histoire de jack alors il ne fit rien, sauf sortir par la porte.

Cette fois Vylom avançait sûr de lui, avec ou sans raison peut importait, plus le mensonge est gros plus il avait de chance de passer.

Il avança vers le comptoir rapidement, jeta un coup d’œil derrière lui, arriva au comptoir et se retourna de nouveau. Semblant inquiet d’avoir été suivit.

Il se pencha vers l’homme derrière le comptoir et parla à voix basse.

Etes vous Jack le Borgne ? Et si non j’aurai besoin de lui parler, si possible dans un endroit ou personne ne peut faire irruption au hasard, peut importe où

JAck le borgne t'écouta rapidement, et à peine avait tu dis ta phrase, qu'un colosse femra la porte, ainsi que le locquet, avant de sortir de la pièce. Plus d'issue pour toi, mais personne ne pouvait géner.

La personne en face de toi, elle, attendait patiemment mais avidement la suite.

Vylom tourna la tête en entendant le bruit de la porte se fermer.

(Ca commence, le rideau vient d’ouvrir)

Il continua tel qu’il avait débuté, son débit était rapide, plus fort. Et les mots étaient simples, visiblement ses idées étaient claires, nettes et précises. Il était là pour une chose, et il savait quoi.

Vous êtes Jack ?

L'homme assez agé sourit. Il parraissait marqué par la vie, mais, une force émanait tout de même de lui.

"Oui Jack cela ne se voit pas?"

Référence à son oeil, sans aucun doute. Il sourit et ses traitqs se tirèrent encore plus.

"Vous souhaitez, dans cette noble échoppe?"

Vous prévenir

Il se mordit la lèvre, se retourna et vérifia du regard l’intérieur de l’établissement. Puis reprit ses paroles plus bas.

Je suis envoyé par l’Ordre des sorcier, mon travail consiste à infiltrer bien gentiment votre organisation de mercenaire, trouver le moyen d’atteindre votre confiance, et vous porter un coup fatal au moment opportun

Il vérifia du regard de nouveau l’intérieur et revient vite à finir ses paroles.

Avez-vous recruté de nouveaux mercenaires dernièrement ?

JAck fronça les sourcils. Il parraissait inquiet, mais il se détendit rapidement.

"Je ne fait rien d'illicite, donc je n'ai pas de soucis à avoir. Ensuite, oui j'ai bien engagé un nouveau mercenaire, mais c'est plutot un retour d'un ancien.

Et enfin, pouruqoi me prévenir d'une telle chose?"

Après ces paroles, il mit sa main sous son bureau, mais personne n'aurait pu dire pourquoi.

Vylom détendit vaguement son visage. Vit la main de Jack le borgne se placer sous son comptoir.

(Il se méfie, c’est uniquement de la méfiance. Prudence)

Vous auriez préféré que j’exécute l’ordre qu’ils m’ont remit ?

Il sourit, gravement et dit.

"J'aurais préféré que vous sachiez que je ne faisiez rien d'illégal. MAis bon, personne ne se soucie de cela maintenant."

IL tatonna quelque chose, attendant toujours.

"Et j'aurais préféré avoir quelqu'un de fidèles face à moi."

(Il s’est trahit seul)

Quelqu’un de fidèle certes non mais ...

Il baissa la voix

Je me demande lequel de nous deux devrais se méfier de l’autre

Il baissa encore la voix

Je n’ai jamais dit qu’il m’avaient engagé pour prouver des actes illégaux. Pourquoi n’arrêtez vous pas d’en parler ?

L'homme ne souriait plus (bluff 79). Tu commençais à l'agacer plsu qu'autre chose avec tes belles paroles.

"Car c'ets ainsi que marche l'ordre, et je voies pas pourquoi il tenterait d'infiltrer et de faire chuter sauf si il veuleent faire mentir avec des actes illégaux!"

Il frappa du poing sur la table, et tu pus voir une magnifique dague incurvée et setie de diamant dans sa main.

"Alors que faites vous sérieusement ici! Vous jouez double veste pour l'instant! Une phrase amicale, une phrase bien placée!"

(Calme le jeu, et vite)

Pas plus que vous je n’aime qu’on remette ma loyauté en doute

Il resta sur place, regardant la lame de la dague, la gorge serrée.

La mienne n’a jamais été du côté de l’ordre

(C'est l'idée, il faut gagner du temps, et du calme, surtout du calme, donnons lui une raison)

Si l’Ordre a un adversaire, peut m’importe qui, cette personne peut être sûre que je l’aiderai. J’ai mes raisons

Il respira lentement.

Je vous ai dit ce que je voulais vous dire, méfiez vous, je doute que l’Ordre n’ai engagé qu’un seul agent pour vous infiltrer, et je doute d’autant plus que tous auront une raison de préférer défier Mythak afin de vous prévenir

(Plus qu’un pas, et je n’aurai guère d’autres cartes en main)

Si je reste dans cette ville sans obéir ils trouveront un moyen de se débarrasser de moi bien rapidement. S’ils pensent qu’en effet j’ai infiltré votre groupe je serais sauf au moins un temps. Je suis venu chercher de l’aide, ni plus, ni moins

(Voilà bien des choses à retenir, autant les garder pour soit)

Vylom resta au milieu de l'échope. Un très vague image d'une joue rosée vient perturber sa concentration. Elle fut jetée aussi immédiatement. Le principal n'était plus là maintenant.

bluff: 93

Jack reposa tranquilement sa dague sur le comptoir, puis toisant l'homme, fit mine de n'avoir rien entendu. IL semblait contenir une rage incroyable en lui, mais les raisons devaient être bien enfuies.

Il parla enfin, après quelques minutes de silence.

"Je voudrais que vous partiez. Vos insultes et vos mensonges m'indifèrent et me fatiguent."

Son regard éait plus que froid, malgré des paroles encore tranquilles.

(Laisse tomber Vylom)

Vylom pesta faiblement mais sans se cacher, releva la tête et remit ses cheveux en place machinalement.

Soit

Il oublia de se montrer calme, serein, sa voix avait une empreinte vide, froide et calme. De la frustration.

Il s'approcha de la porte sans demander son du.

Il s'arrêta un moment, posa sa main sur le mur.

(Non)

Il n'insista pas ni ne contredit Jack. Et sortit dans les rues, intact et frustré.

DelireMan entra dans l'échoppe, heureux d'avoir trouver un lieu habité à travers ce labyrinthe, et se retrouva nez à nez avec un borgne. D'aprés le nom de l'échoppe et son puissant sens de la déduction, il conclut que ce borgne s'appelait Jack. Il semblait étonné de voir déboulé un elfe dans sa boutique et resta muet. Je rompis le silence qui commençait à devenir pesant.


" Bonjour à toi, mon ami! Désolé de cette intrusion dans votre boutique, mais perdu dans mes pensées je me suis égaré dans ce quartier et votre porte est la seule que j'ai trouvée. He bien, vu que je suis là autant rester un peu. Je ne vois aucun article, que vendez vous ici ? "

L'homme te dévisagea. Visiblement tu ne semblait pas le connaître. Le grand brigand Jack le borgne avait pourtant été célèbre dans sa jeunesse. Mais il ne fut pas vexé. Aprés tout sa vie avait changé désormais.

" Bien tu n'es pas d'ici toi, étranger. Cette boutique vend des services humains pourrait on dire. J'ai à ma solde une équipe de mercenaire. Des gens viennent donc me voir pour des que je leur loue les service de mon équipes. Nous sommes capable d'accomplir un peu tout et n'importe quoi. Pourquoi tu as besoin d'une protection, l'étranger?"

" Je vois... Hé bien non, je n'ai pas encore besoin de protection. Mais j'aurais besoin de gagner un peu d'argent, je me demande si tu pourrais me proposer du travail. Je sais que je suis inexpérimenté mais je suis prêt à relever n'importe quelle mise à l'épreuve pour prouver ma valeur. "

DelireMan fit son plus beau sourire pour tenter de s'attirer les faveurs de Jack. Mais ca lui donner surtout un air trés niais.

L'homme t'examina. Visiblement tu n'avais pas la carrure et la prestance pour satisfaire à ces besoins. Il te fixa droit dans les yeux et te répondit d'un ton franc.

"Écoutes l'ami ce n'est pas que je ne t'aime pas mais vois tu, tu n'as pas l'air encore très expérimenté. Et tu comprendras que je ne peux me permettre ce genre d'employé. Mais il est vrai que certains de mes hommes se font tués et j'ai donc souvent besoin de nouvelle recrue. Ce que je te propose est simple. Prouve moi ta valeur et je revisiterais ton offre. Il y a des multiple façon pour cela : la preuve que tu as tué un monstre ou une bête féroce, une quête accomplie avec brio après d'un commerçant réputé ou autre. Je sais aussi que la cité de Keutrop possède une arène ou s'affronte de glorieux combattant si jamais tu t'aventurerais par la bas. Bref toute chose qui me prouvera ta valeur.

Voila je ne peux faire plus pour toi. Si tu n'as rien besoin d'autre je te prierais donc de me laisser. J'attends quelqu'un et ta présence pourrais déranger."